A Bagnoles de l’Orne Normandie, la #TeamENE a posé les fondations de sa saison
3 septembre 2021Du samedi 28 au lundi 30 août 2021, la Team ENE était à Bagnoles de l’Orne Normandie. Au cœur de la cité thermale ornaise, les normands ont posé les fondations de leur saison au cours d’un stage de cohésion qui était attendu.
« Pour certains, cela faisait un an qu’on ne les avait pas vu » explique Colin Hartvick tout sourire au moment de conclure le stage. Le lexovien n’a pas tord. Avec la COVID-19, les tireurs lexoviens, caennais et alençonnais de la Team ENE se sont très peu vus. Si certains s’étaient vus à l’occasion des championnats de France en juin, pour la plupart le dernier regroupement datait de septembre 2020.
Cet été, l’ENE a renoué avec ses traditions. A Bagnoles de l’Orne Normandie, la structure normande a lancé sa saison avec un stage de cohésion. Après Culey-le-Patry (2015 et 2016), Thury-Harcourt (2017) et Merville-Franceville (2018), c’était donc dans la cité thermale ornaise que nos escrimeurs posaient les fondations de leur saison. Un rendez-vous qui était attendu et réclamé après deux ans d’absence. « C’est important la cohésion dans un club comme l’ENE où il y a des tireurs de plusieurs clubs » précise Thaïs Naucelle-Jardel. « Cela nous pousse à aller plus loin en compétition« .
Nous avons retrouvé l’ADN de nos stages avec ce stage 2021. Qui plus, est avec un grand nombre de nouveaux arrivants. J’ai pris un énorme plaisir dans ce stage vous voir heureux, à faire des efforts ensemble.
Benoît Fretard
Au cours de trois journées où la majorité des membres du groupe étaient présents, ils ont pu alterner des épreuves sportives et des activités qui les sortaient de leur quotidien. Run & bike, jeux de raquettes, jeux provençaux, randonnée, ultimate, course d’orientation et mini-golf : il faut dire que le cadre de Bagnoles de l’Orne offre de très grandes possibilités d’occupations. « Nous avons été super bien accueillis par l’équipe de l’Office du Tourisme et la municipalité. Nous cherchions un endroit pour nous mettre au vert et sortir de nos villes d’entraînements, c’est réussi ! » conclut Alexandre Motte.
Désormais, c’est dans les salles d’armes de Lisieux, Caen et Alençon que la suite de la préparation de nos épéistes va se poursuivre. Tous motivés comme jamais à l’idée de reprendre les compétitions, ils n’attendent plus qu’une chose : le calendrier définitif de cette saison.
Les réactions :
Benoit Fretard, président et entraîneur : « Nous avons retrouvé l’ADN de nos stages avec ce stage 2021. Qui plus est avec un grand nombre de nouveaux arrivants. J’ai pris un énorme plaisir dans ce stage à vous voir heureux, à faire des efforts ensemble, vieux et plus jeunes, garçons et filles. J’ai pris un énorme plaisir à vous voir jouer ensemble. J‘ai pris un énorme plaisir à vous voir chanter et danser ensemble. J’ai pris un énorme plaisir à vous voir partager des moments conviviaux, des moments de vie en communauté ensemble. J’ai créé l’ENE avec Alexandre Motte et Franck Lemarié en 2015, et 6 années plus tard en vous regardant tous tels que vous êtes devenus, hommes et femmes, je suis fier de ce que nous avons fait ensemble. ENSEMBLE, ALLONS PLUS LOIN ».
Florent Desprès, entraîneur : « Le bilan du stage est très satisfaisant. L’objectif était de développer encore la cohésion d’équipe. C’est la force du groupe pour l’année. A Bagnoles de l’Orne, on a pu voir le groupe en dehors de l’escrime. On les voit vivre vraiment et pour certains on découvre des caractères. Pour nous, mieux les connaître nous permet de mieux les accompagner et les coacher. C’est pour moi un moment essentiel de la saison, le point de départ. Maintenant, on va bosser et aller chercher des médailles. Chaque tireur a des objectifs différents dont certains très élevés, il faudra les accompagner au mieux. « .
Clément Doguet, entraîneur : « Cela a été une bonne intégration pour tous. On a retrouvé dans ce stage les valeurs et l’esprit de l’ENE. Cela promet pour la suite de la saison en espérant que cela nous amène vers des résultats. Ce stage est important pour replacer les choses, voir l’état de forme de chacun et de créer des choses avec les tireurs que l’on ne peut pas faire dans un salle d’armes ; pour apprendre à les connaître en dehors de la piste et ainsi mieux les coacher. »
